Annoncé comme le candidat des Démocrates pour la présidentielle de novembre 2024, Joe Biden a annoncé lundi 22 juillet. La candidate qui fera face à Donald Trump sera donc sa vice-présidente Kamala Harris qui aura la lourde responsabilité de défendre le bilan de son parti.
En opposition complète avec le parcours, l’idéologie et le programme avec Trump, elle peut permettre aux démocrates de rattraper leur retard aux sondages. À l’international, Kamala Harris promet une transparence et une action exemplaire, notamment en termes de diplomatie.
Elle compte changer de position notamment vis-à-vis de Joe Biden, sur la question du soutien à Israël. Plus de clarté, mais aussi plus de transparence, la question du sort des populations Gazaoui et Palestiniennes sont une cause que la Vice-présidente a déjà évoqué avec le Premier ministre Netanyahu pendant les négociations d’un potentiel cessez-le-feu.
Un possible débat entre Harris et Trump devrait se dessiner dans les prochains jours, le candidat juge pour l’instant que cela n’a pas d’intérêt et que le moment et inopportun.
À quelques heures du coup d’envoi des Jeux olympiques de Paris 2024, le Sénat vient de remettre un rapport au sujet des ingérences étrangères sur notre territoire, de plus en plus fréquentes ces dernières années.
Appelant à faire évoluer les mentalités, le rapport invite la France à s’armer rapidement face à de nombreux risques en cybersécurité, mais aussi en contrôlant plus les actions de groupes étrangers sur son territoire. Le Premier Ministre Attal est convaincu qu’une cyberattaque interviendra pendant le déroulement des Jeux olympiques, et le rapport des sénateurs peut remettre en question notre capacité de gestion de crise dans ce domaine.
Ces dernières années, des actes malveillants en France ont été relevés comme de l’ingérence étrangère, à l’image de cercueil de soldats français déposé au pied de la Tour Eiffel au printemps.
Mercredi 24 juillet, le militant fondateur de Sea Shepherd Paul Watson a été arrêté au Groenland par les autorités danoises alors que son bateau faisait escale pendant une mission.
Cette arrestation intervient dans le cadre d’un avis de recherche déposé par Interpol sous impulsion japonaise. En effet, le militant résidant en France est reconnu pour ses activités de lutte contre la pêche à la baleine dans les eaux nippones, intervenant à l'encontre de cette pratique répandue au Japon.
Une pétition circule actuellement sur internet afin que le président E. Macron appui une relaxation pour le militant, recueille déjà plus de 550 000 signataires. En attendant d’une potentielle intervention étatique, Paul Watson reste en rétention au Danemark, où son extradition vers le Japon doit être évaluée.