Alors que les Ilériens ont quitté les lieux depuis plus d’un mois, l’équipe administrative s’active à l’étage du 8 avenue des chasseurs pour préparer l’année scolaire à venir.
En attendant de partir en famille surfer sur la côte basque, Clémentine Chaigne façonne son plan d’action commercial aussi dit “PAC”. Pour cela, elle dresse un bilan de l’année scolaire passée en y combinant des prévisions sur les performances du campus pour l’année à venir.
Clémentine aura prochainement l’occasion de présenter son plan d’action pendant 2 heures devant un public composé de membres du réseau Compétences et Développement.
Parallèlement à cela, elle organise son calendrier commercial en planifiant les futurs concours à passer pour les nouveaux entrants, les prochains salons à visiter à l’image du SAGE organisé par Le Monde; et les dates des journées portes ouvertes auxquelles les représentants des élèves, les ambassadeurs, devront participer pour faire part de leur parcourt aux futurs inscrits.
Occasionnellement, Clémentine franchit le pas de la porte du campus accompagnée d’Ozzy, une petite chienne de 4 ans dont elle ne préfèrerait jamais se séparer.
La présence de l’animal couché près de son bureau a la faculté de dissiper le stress qu’occasionne la rentrée auprès des équipes de l’institut. Peut-être aurez-vous la chance de la croiser un jour dans Paris !
En attendant de rencontrer les nouveaux élèves en septembre, Clémentine a d’ores et déjà boucle ses valises (et celles d’Ozzy) pour rejoindre Uzès où elle compte bien se ressourcer durant le week-end du 14 juillet.
C’est la dernière ligne droite avant les vacances dans le bureau 209 pour Sandra Sakal, coordinatrice pédagogique des Bachelors. Demain, elle s’envole retrouver ses proches au Liban.
Néanmoins, ce n’est pas pour autant qu’elle relâche ses efforts face aux préparatifs de la rentrée.
Et pour cause ! Le travail effectué durant l’été par l’équipe pédagogique de l’ILERI est déterminant pour l’année scolaire qui arrive. Il permet aux élèves, tout comme aux professeurs, de passer la meilleure des années possible.
C’est un véritable casse-tête qui s’impose à Sandra durant cette période : mettre à jour les programmes, planifier les cours des Bacheliers, vérifier que l’ensemble des professeurs soient disponibles aux dates qu’elle a sélectionnées, pour enfin finaliser et synchroniser le planning des cours avec ceux des six autres écoles qui se partagent les salles de classe du campus des chasseurs.
Conjointement, elle examine les notes des élèves ayant passé les rattrapages en France pour les ajouter à leurs bulletins.
Ces dernières serviront à préparer les attestations prévisionnelles de réussite de diplôme.
Cependant, avant de révéler les résultats finaux des épreuves, Sandra doit attendre de recevoir les bulletins des élèves partis en semestre à l’étranger ainsi que le rendu et la soutenance des rapports de stage.
Rendez-vous fin juillet pour connaître les résultats des élèves restés sur le sol français et début septembre pour ceux qui rentrent de l’étranger !
Après avoir passé le week-end du 14 juillet sur son vélo à sillonner les côtes normandes, Maëva Zezymbrouck notre chargée de relations entreprises, sont de retour dans les bureaux du 7 avenue des Chasseurs, les yeux plongés dans ses tableaux excel.
À l’image de Clémentine et Sandra, Maëva est, elle aussi, bien loin de ménager ses efforts durant l’été. Entre la rédaction des futurs contrats d’apprentissage, le suivi des stages et des alternances, le bilan de la taxe d’apprentissage à dresser et le démarchage d’entreprises, Maëva n’a pas une seconde à elle !
Placée en face de Clémentine Chaigne dans le bureau 409, elle s’attèle aujourd’hui à de longues séances de négociations avec les entreprises prêtes à accueillir de futurs alternants. Il s’agit de trouver un terrain d’entente vis-à-vis du montant que chacune des entreprises aura à régler pour payer la formation de leurs éventuels apprentis. Ces échanges sont déterminants pour les étudiants souhaitant intégrer une formation en apprentissage. Si jamais les négociations n’aboutissent pas, aucun contrat ne peut être mis en place. Ce genre de concertation avec les entreprises ont, la plupart du temps, tendance à s’étaler dans le temps. Selon Maëva, elles commencent en avril et se terminent aux alentours du mois de décembre, lorsque la majorité des étudiants ont signé leur contrat.
Avant de définitivement clore ces séances de pourparlers et après avoir affronté une semaine de COVID, notre chargée des relations entreprises a prévu d’aller se ressourcer auprès de ses proches dans le Sud de la France.
PS: si vous souhaitez trouver des offres d’alternances et de stages, nous vous donnons rendez-vous sur Job Teaser avec votre adresse mail étudiante. Les étudiants de l’ILERI ont aussi la possibilité de consulter le classeur des anciennes alternances de l’école.
Toute l’équipe vous souhaite bonne chance dans vos recherches !
Seuls quelques mètres séparent Maëva Zezymbrouck et Clémentine Chaigne du bureau 408 où se trouve Mali Sall, responsable administrative du campus de Paris depuis bientôt 4 ans.
En plus de devoir jongler toute l’année entre l’administration des ventes, la pédagogie, la comptabilité ou encore le service des inscriptions, Mali porte aussi les casquettes de référente handicap et guide filent lors des évacuations incendie à l’ILERI. Tous les mois, c’est également à elle que revient la tâche de dresser les fiches de paie et de veiller à la bonne répartition des tickets restaurant du personnel.
Durant les mois les plus chauds de l’année, Mali concentre son activité sur l’élaboration des attestations de scolarité, des cartes étudiantes, mais aussi et surtout sur le montage de bientôt 400 contrats étudiants. Ces derniers permettront aux futurs élèves d’accéder à leur adresse mail étudiante et à la plateforme 360 learning, une plateforme leur permettant notamment d’accéder à leur emploi du temps ou encore à des cours mis en ligne par les professeurs.
Les ilériens étant de plus en plus nombreux au fil des années, l’élaboration des contrats s’étale en général du mois de mai jusqu’à fin août alors soyez prudents ! En effet, les élèves n’ayant pas remis leur dossier d’inscription avant début septembre ne seront plus considérés comme inscrits.
Mali est aussi celle qui s’assure que tous les étudiants aient bien réglé leurs frais de scolarité. Si jamais vous rencontrez une situation financière particulière, n’hésitez pas à passer dans son bureau, elle se fera une joie de vous aider au mieux.
Enfin, avant de boucler son programme de l’été et d’affronter la rentrée, Mali Sall s’envolera prochainement vers l’Egypte en compagnie de sa famille pour des vacances bien méritées.
C’est dans le bureau 208 que les étudiants ont l’habitude de retrouver Alexandra Hunt, assistante pédagogique des masters à l’ILERI. Après une absence de 9 mois, Alexandra nous a fait le plaisir de revenir sur le campus au mois de janvier et ce, à la plus grande joie des étudiants qui l’avaient connue avant son départ. En effet, sa douceur et son sens de l’écoute sont très appréciés par l’ensemble des Ilériens.
Présente au sein de l’établissement depuis 2017, ce qui fait d’elle le membre de
l’administration, elle a eu l’occasion de vivre les différents déménagements de campus et les changements de direction; a vu défiler de nombreuses équipes administratives mais a aussi et surtout put suivre certains Ilériens de leur entrée à l’ILERI jusqu’à la fin de leur cursus.
Même après l’obtention de leurs diplômes, ces derniers continuent de la contacter régulièrement pour lui donner de leurs nouvelles et prendre des siennes. Alexandra le dit elle-même ; ce qu’elle préfère au sein de son poste, c’est le contact avec les étudiants, apprendre à les connaître et les voir évoluer.
Tous ces éléments réunis font qu’Alexandra fait office de repère pour la plupart des masters sur le campus.
Durant l’été, à l’image de Sandra Sakal, Alexandra se consacre à planifier les futurs emplois du temps des masters. En plus de finaliser les bulletins des élèves ayant passé les rattrapages, elle ajuste également les prochaines dates de passage des soutenances de mémoire de concert avec les directeurs de masters. Ces oraux auront lieu début septembre, juste avant la rentrée, tout comme la semaine de remise à niveau pour les nouveaux entrants en master qui auront l’occasion d’aborder des sujets de droit, d’économie et de science politique.
Avant d’entamer une nouvelle année scolaire à l’ILERI, Alexandra Hunt partira profiter de l’air marin de la Côte d’Azur en famille pendant une dizaine de jours durant lesquels elle rechargera ses batteries.
Tout près d’Alexandra Hunt, au sein du bureau 208 du 11 avenue des Chasseurs se trouve Corinne Caillaud, l’assistante pédagogique des langues du campus de Paris.
Tout au long de l’année, c’est elle qui s’assure du suivi des étudiants et des professeurs vis-à-vis de tout ce qui touche à l’apprentissage et l’enseignement de la dizaine de langues que propose l’ILERI parmi ses formations. C’est aussi à elle que revient la responsabilité de recruter les professeurs de langues qu’elle repère au sein de consulats, de l’INALCO ou d’autres instituts.
La partie qu’affectionne tout particulièrement Mme Caillaud au sein de sa fonction est sans aucun doute le contact qu’elle crée avec les professeurs qu’elle mobilise.
En effet, la diversité des langues proposées par l’Ileri lui permet, à chaque rencontre, de se confronter à des cultures diverses et variées, et d’en apprendre toujours un peu plus sur ces dernières. Ces riches interactions lui rappellent ce qu’elle appelle sa “première vie”, durant laquelle elle a eu l’occasion de voyager à travers le monde grâce aux différents postes qu’elle a pu occuper dans le domaine de la mode.
Loin des chaînes himalayennes, et des rizières de Madagascar, alors que les étudiants ont déserté les couloirs, Corinne focalise son attention sur la planification des cours de langues et la définition de groupes par niveau. C’est environ 350 élèves qu’elle va devoir répartir sur 45 groupes et 10 langues mises à la disposition des Ilériens par l’établissement.
Avant de boucler son programme estival à l’ILERI et de prendre une retraite bien méritée, Corinne n’a pas prévu de voyage dans un pays lointain, mais partira en vacances profiter de l’air frais du Nord de la France, non loin de ses proches.
À l’image de Corinne Cailliaud, Hélène Crespin a elle aussi eut une “première vie”.
Avant d’intégrer le campus de l’ILERI, la directrice des programmes a en effet enseigné le droit pendant 19 ans pour préparer des juristes à entrer en école d’avocats. Parallèlement à cela, elle s’occupait de gérer la partie administrative d’organismes privée avant d’être affectée au 7 avenue des Chasseurs.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le fait d’enseigner ne manque pas le moins du monde à Hélène; ce qu’elle préfère au sein de son poste, c’est l’ingénierie pédagogique soit l’élaboration et la mise en place de nouveaux programmes.
Pour cela, Hélène consulte les élèves, les enseignants, des chercheurs, des spécialistes et examine scrupuleusement l’actualité. Le but de cette démarche ? Rassembler différentes influences et les rassembler autour d’une seule et même thématique en vue de créer le programme scolaire le plus complet et le plus enrichissant possible pour les Ilériens. Il s’agit également de se distinguer des autres écoles en proposant des programmes et formations qui n’existent nulle part ailleurs.
À l’ILERI la ligne directrice concernant les formations est claire: les cursus proposés se doivent d’être professionnalisants et évolutifs en fonction des aléas de l’actualité.
Hélène prend ainsi du plaisir à créer et à mettre en place de nouvelles formations pour les élèves du campus, mais selon elle, ce qui est le plus gratifiant dans ce processus, c’est d’observer l’évolution des élèves dont elle croise le chemin. Effectivement, constater que la formation qu’elle a mise sur pied permet aux élèves de s’insérer dans le monde du travail et de s’y épanouir constitue une véritable victoire pour notre directrice des programmes.
Demain soir, tout comme Alexandra Hunt, Hélène partira profiter des beaux jours de l’été sur le littoral de la côte d’azur, bien loin de l’agitation de la capitale.